Paul Ariès | Le socialisme gourmand

Association Ulysse

Share

[divider top= »no »]

Inutile de faire à nouveau le réquisitoire du capitalisme : il est déjà si lourd qu’il finit par nous assommer. Ce qui importe, c’est d’en finir avec les passions tristes au coeur du capitalisme, mais aussi de courants de gauche et de la décroissance du « ni droite ni gauche ».

Paul Ariès revient sur les expériences du mouvement ouvrier, passionnantes mais oubliées, comme les bourses du travail, le mouvement coopératif, le socialisme municipal ou le syndicalisme à bases multiples. Il témoigne aussi des « gros mots » qui s’inventent internationalement pour dire les nouveaux chemins de l’émancipation : buen vivir, vie bonne, jours heureux, vie pleine, convivialisme, etc. Il en appelle à une gauche maquisarde, buissonnière, prenant en compte l’antiproductivisme, les luttes écologiques et la joie de vivre.

Pour lui, les gens n’ont pas besoin d’être éduqués : ils ne sont pas idiots mais angoissés, pas abrutis mais blessés dans leur sensibilité. Un appel à favoriser les dynamiques de décrochage et les actes de « désadhésion », un appel à l’expérimentation et à l’insurrection des existences.

source : La Découverte

[divider top= »0″]

  1. Conférence (1/4)
  2. Conférence (2/4)
  3. Conférence (3/4)
  4. Conférence (4/4)
  5. Débat (1/2)
  6. Débat (2/2)


[wpdm_package id=’3969′]

[divider top= »1″]

 

Share